STOP hommes battus 06 81 92 14 58

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VERITE DE TOCQUEVILLE ET MENSONGE DES FEMINISTES

 

 

"La Vérité de Tocqueville " et le mensonge des feministes

Statistiques ou Bon Sens ?" s'interroge sur la disparition des hommes battus des statistiques en France, malgré les avancées en droits de l'homme et les compétences en sociologie et statistiques du pays.

Il distingue réalité (catégorie ontologique) et vérité (catégorie logique et gnoséologique), mettant en évidence que la vérité doit être soit démontrée, soit démontrable.

Il examine les approches de Durkheim et de Tocqueville en sociologie. Durkheim, avec sa méthode exhaustive de collecte de données, diffère de Tocqueville qui critique l'utilisation de statistiques non rigoureuses.

L'association Stop Hommes Battus révèle que les statistiques des hommes maltraités (80 000) et de leurs femmes maltraitantes (80 000) ont disparu des publications de l'ONDRP et du HCE.

Elle note que seulement 3% des hommes victimes portent plainte contre 17% des femmes victimes. L'association recalculée ces chiffres montre que 50% des hommes maltraitants sont condamnés contre seulement 3% pour les femmes maltraitantes, remettant en question l'équité des traitements judiciaires.

L'association critique le manque d'analyse et de transparence des institutions et souligne l'importance de reconnaître les hommes maltraités dans les statistiques.

Le lien vers l'étude statistique chiffrée de l'association est mentionné :

https://stop-hommes-battus-france-association.blog4ever.com/les-chiffres-sont-les-chiffres.

En résumé, Stop hommes battus souligne les lacunes des statistiques et l'importance de la visibilité des hommes battus, questionnant le rôle des statistiques dans la compréhension de phénomènes sociaux en France concernant les violences conjugales, le pre carré des feministes en France.

 

Tocqueville qui se méfiait de la statistique (Tocqueville, 1991, p. 310)

: « Quand la statistique n’est pas fondée sur des calculs rigoureusement vrais, elle égare au lieu de diriger. L’esprit se laisse prendre aisément aux faux airs d’exactitude qu’elle conserve jusque dans ses écarts, et il se repose sans trouble sur des erreurs qu’on revêt à ses yeux des formes mathématiques de la vérité. Abandonnons donc les chiffres, et tâchons de trouver nos preuves ailleurs. »

Ces deux auteurs ont chacun leur propre conception des faits sociaux. Durkheim suit une démarche descriptive, fondée sur des données nombreuses, tandis que Tocqueville analyse la société en observant le comportement humain.



02/12/2023
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