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« Stop hommes battus » est la seule association de défense des hommes maltraités sur le territoire national qui défend et accompagne les hommes victimes de violences conjugales, et surtout disposant d’une équipe pluridisciplinaire de bénévoles en capacité permanente d’écouter, conseiller et accompagner les hommes maltraités qui lui font appel. Son président, Pascal Combe, comme beaucoup de membres a été victime de maltraitance, d’où son engagement depuis 2014 pour la cause spécifique des hommes victimes de violences conjugales. Brisons le tabou une fois pour toute : 80 000 victimes par an, une femme battue sur quatre est un homme, n’en déplaise aux statistiques officielles. Une trentaine d’hommes morts par an… Et je ne parle pas des suicides, des suicides »forcés », seule façon d’échapper à son bourreau, lorsqu’on est dans une impasse. Et pourtant, aucune structure d’accompagnement n’existe, aucune place d’hébergement d’urgence, aucun numéro national… Cette injustice est inacceptable dans un pays de droit où l’égalité entre les hommes et les femmes est érigée au rang de ministère ! Un comble… Sciemment les hommes maltraités sont niés, la violence féminine minimisée, voire anecdotique. Dans les textes, les ministères concernés évoluent dans leur communication, parlant de violences conjugales, sans distinction de genre, mais quand on creuse le sujet tout est orienté vers la femme victime. Policiers, gendarmes et magistrats ne sont pas sensibilisés au fait que les violences conjugales sont sans genre et qu’elles sont également réparties entre les hommes et les femmes. comme l’indiquent les études faites dans les pays voisins. Pourquoi la France ferait-elle exception ?
Jacques DOS SANTOS, responsable antenne départementale de Seine et Marne
« Stop hommes battus » est la seule association de défense des hommes maltraités sur le territoire national qui défend et accompagne les hommes victimes de violences conjugales, et surtout disposant d’une équipe pluridisciplinaire de bénévoles en capacité permanente d’écouter, conseiller et accompagner les hommes maltraités qui lui font appel. Son président, Pascal Combe, comme beaucoup de membres a été victime de maltraitance, d’où son engagement depuis 2014 pour la cause spécifique des hommes victimes de violences conjugales. Brisons le tabou une fois pour toute : 80 000 victimes par an, une femme battue sur quatre est un homme, n’en déplaise aux statistiques officielles. Une trentaine d’hommes morts par an… Et je ne parle pas des suicides, des suicides »forcés », seule façon d’échapper à son bourreau, lorsqu’on est dans une impasse. Et pourtant, aucune structure d’accompagnement n’existe, aucune place d’hébergement d’urgence, aucun numéro national… Cette injustice est inacceptable dans un pays de droit où l’égalité entre les hommes et les femmes est érigée au rang de ministère ! Un comble… Sciemment les hommes maltraités sont niés, la violence féminine minimisée, voire anecdotique. Dans les textes, les ministères concernés évoluent dans leur communication, parlant de violences conjugales, sans distinction de genre, mais quand on creuse le sujet tout est orienté vers la femme victime. Policiers, gendarmes et magistrats ne sont pas sensibilisés au fait que les violences conjugales sont sans genre et qu’elles sont également réparties entre les hommes et les femmes. comme l’indiquent les études faites dans les pays voisins. Pourquoi la France ferait-elle exception ?
Jacques DOS SANTOS, responsable antenne départementale de Seine et Marne
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L’association « Stop hommes battus »
