La réalité : les femmes mentent autant que les hommes
La réalité : les femmes mentent autant que les hommes. Cette réalité est exacerbée lorsque le système judiciaire protège excessivement l'accusateur, dépouille l'accusé de ses droits les plus élémentaires, et inverse les accusations lorsque la charge de la preuve revient à l'accusé, et non à l'accusateur. Le concept de présomption d'innocence qui prévalait depuis des siècles a été inversé. Dans une déformation horriblement totalitaire, nombre d'hommes sont aujourd'hui présumés coupables et doivent apporter la preuve de leur innocence.
Aujourd'hui, les femmes sont encouragées par les travailleurs sociaux et les avocats à porter plainte contre leurs conjoints et leurs maris, pour raisons financières (récupérer la maison, obtenir une pension) et, ce faisant, bénéficient d'un anonymat total (tandis que le nom de l'accusé est largement diffusé) ; en outre, elles sont protégées contre les poursuites pour fausses accusations, les tribunaux d'instance ont des critères moins rigoureux en matière de preuves, etc.
Bien que les études sur la question politiquement sensible des fausses accusations de viol soient rares, il en existe quelques-unes :
Le sociologue Eugene J. Kanin, de l'Université Purdue, a découvert que « 41% de la totalité des affaires de viols ayant fait l'objet d'une décision de justice avaient été officiellement reconnues comme fallacieuses » sur une période de 9 ans, « c'est-à-dire sur l'aveu de la plaignante qu'aucun viol n'avait eu lieu et que, par conséquent, l'accusation était mensongère.
Une étude de suivi conduite dans une université a fait apparaître que 50% des accusations étaient fausses, à nouveau sur la seule rétractation de la plaignante.
Les accusations non rétractées augmentent certainement le pourcentage de fausses accusations. Kanin conclut que « ces fausses allégations semblent servir trois fonctions principales pour les plaignantes : fournir un alibi, obtenir vengeance, susciter la sympathie et attirer l'attention. »
Stephen Baskerville, The New Politics of Sex
Voici deux examples de fausses accusations flagrantes bien documentées. D'abord, une pom-pom girl appelle la police et affirme que son petit ami l'a frappée et a tenté de l'étrangler. La police s'apprête à arrêter l'homme, lorsque ce dernier lui fournit une vidéo montrant que c'est tout l'inverse qui s'est produit :
Aujourd'hui, les femmes sont encouragées par les travailleurs sociaux et les avocats à porter plainte contre leurs conjoints et leurs maris, pour raisons financières (récupérer la maison, obtenir une pension) et, ce faisant, bénéficient d'un anonymat total (tandis que le nom de l'accusé est largement diffusé) ; en outre, elles sont protégées contre les poursuites pour fausses accusations, les tribunaux d'instance ont des critères moins rigoureux en matière de preuves, etc.
Bien que les études sur la question politiquement sensible des fausses accusations de viol soient rares, il en existe quelques-unes :
Le sociologue Eugene J. Kanin, de l'Université Purdue, a découvert que « 41% de la totalité des affaires de viols ayant fait l'objet d'une décision de justice avaient été officiellement reconnues comme fallacieuses » sur une période de 9 ans, « c'est-à-dire sur l'aveu de la plaignante qu'aucun viol n'avait eu lieu et que, par conséquent, l'accusation était mensongère.
Une étude de suivi conduite dans une université a fait apparaître que 50% des accusations étaient fausses, à nouveau sur la seule rétractation de la plaignante.
Les accusations non rétractées augmentent certainement le pourcentage de fausses accusations. Kanin conclut que « ces fausses allégations semblent servir trois fonctions principales pour les plaignantes : fournir un alibi, obtenir vengeance, susciter la sympathie et attirer l'attention. »
Stephen Baskerville, The New Politics of Sex
Voici deux examples de fausses accusations flagrantes bien documentées. D'abord, une pom-pom girl appelle la police et affirme que son petit ami l'a frappée et a tenté de l'étrangler. La police s'apprête à arrêter l'homme, lorsque ce dernier lui fournit une vidéo montrant que c'est tout l'inverse qui s'est produit :
Dans le second cas, la petite amie d'un jeune avocat menace de l'accuser faussement de violence conjugale afin de l'expulser de la maison :
Qu'en est-il des cas où des hommes n'ont pas rassemblé de preuves de fausses accusations, et ont fini en prison uniquement sur la base de ces dernières ?
Un facteur critique lorsqu'on ment aux autorités est de savoir si elles croiront ou non au mensonge. L'étude suivante évalue les biais des autorités concernant les affaires de violence conjugale, selon que l'auteur est un homme ou une femme :
-Lorsqu'une femme appelle la police pour signaler des violences domestiques, l'homme est contraint de quitter le domicile dans 41,4% des cas. Lorsqu'un homme appelle la police, la femme est contrainte de quitter le domicile dans 0% des cas.
-Lorqu'une femme apppelle la police, l'homme est menacé d'arrestation immédiate dans 28,2% des cas.
-Lorsqu'un homme appelle la police, la femme est menacée d'arrestation dans 0% des cas.
-Lorsqu'une femme appelle la police, l'homme est menacé d'arrestation ultérieure dans 10,7% des cas.
-Lorsqu'un homme appelle la police, la femme l'est dans 0% des cas.
-Lorsqu'une femme appelle la police, l'homme est arrêté dans 15,2% des cas.
-Lorsque c'est un homme, la femme est arrêtée dans 0% des cas.
-Dans 12,1% des cas, lorsque l'homme appelle la police, c'est lui-même qui est arrêté.
1985 US National Family Violence Survey, conduit par Murray A. Straus et Richard J. Gelles
Ces sondages montrent que les hommes sont peu susceptibles de signaler les violences (viol, violence conjugale, maltraitance infantile) commises par leur compagne parce que, au mieux, on ne les croira pas et, au pire, ce sont eux qui se retrouveront derrière les barreaux. Fait intéressant, c'est précisément ce que prétendent subir les femmes lorsqu'elles signalent un viol.
Inversement, les femmes sont encouragées à porter plainte parce que leurs allégations (qu'elles soient vraies ou fausses) seront plus probablement crues, et même si elles sont mensongères, les plaignantes ne risquent aucune retombée judiciaire.
En résultat, les statistiques ci-dessus sont probablement biaisées par la sous-représentation des signalements masculins, et la surreprésentation des signalements féminins. Tenir compte de ce biais de signalement augmenterait la prévalence des violences domestiques, des maltraitances infantiles et des viols commis par des femmes.
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