LA THEORIE DU GENRE APPLIQUEE A LA VIOLENCE CONJUGALE
e terme « violence à l’égard des femmes fondée sur le genre » désigne toute violence faite à l’égard d’une femme parce qu’elle est une femme ou affectant les femmes de manière disproportionnée5.
De telles définitions s’appliquent dans les cas où le genre est le fondement de la violence exercée à l’encontre d’une personne. Cependant, le genre ne se limite pas au fait d’être un homme ou une femme : une personne peut naître avec des caractéristiques sexuelles féminines, mais s’identifier comme étant un homme, ou un homme et une femme en même temps, ou parfois ni un homme ni une femme. Les personnes LGBT+ (lesbiennes, gays, bisexuelles, transgenres et autres personnes qui ne correspondent pas à la norme hétérosexuelle ou aux traditionnelles catégories de genre, dites binaires) souffrent également de violence fondée sur leur orientation sexuelle réelle ou perçue et/ou leur identité de genre. C’est pourquoi la violence à l’égard de ces personnes relève de la violence fondée sur le genre. En outre, les hommes peuvent également être victimes de violence fondée sur le genre : statistiquement, le nombre de ces cas est beaucoup plus faible, mais il ne faut pas le négliger pour autant.
Définir la violence à l’égard des femmes fondée sur le genre
En nous basant sur la définition de « violence à l’égard des femmes fondée sur le genre » tirée du rapport explicatif de la Convention d’Istanbul6, nous pouvons dire que :
la violence fondée sur le genre désigne tout type d’acte préjudiciable perpétré contre une personne ou un groupe de personnes en raison de leur sexe, de leur genre, de leur orientation sexuelle et/ou de leur identité de genre, réels ou perçus.
NOS COMMENTAIRES :
La on précise :
En outre, les hommes peuvent également être victimes de violence fondée sur le genre : statistiquement, le nombre de ces cas est beaucoup plus faible, mais il ne faut pas le négliger pour autant.
On admet que l'homme peut ette touche
28 % de victimes hommes est il faible : NON
Pourquoi le HCE a til ignore les hommes victimes
En amerique du Nord et en Angleterre il y a egalite des victimes hommes et femmes
LA VIOLENCE CONJUGALE NA DONC PAS DE GENRE
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AUTRE DEFINITION
.https://www.huffingtonpost.fr/pascal-huguet/explications-theorie-du-genre_b_4759264.html
La "théorie du genre" pour les nuls
Tout d'abord la rumeur : une "théorie du genre" serait enseignée à l'école pour nier les différences sexuelles entre filles et garçons, si possible dès la maternelle. Avec quel objectif ? Détruire le modèle traditionnel (hétérosexuel) de la famille et encourager l'homosexualité, la bisexualité et la transsexualité. D'où un appel à boycotter les salles de classe, relayé par SMS et sur les réseaux sociaux. Facile aujourd'hui de savoir que cet appel et cette rumeur proviennent de personnes proches de l'extrême droite. Mais rien n'y fera : les rumeurs ont la peau dure à défaut d'être fondées. Même à l'heure de la société de l'information il demeure difficile de s'en débarrasser. Au contraire, les rumeurs se propagent désormais sans aucune limite physique grâce aux nouvelles technologies de l'information et de la communication. D'où parfois leur nature explosive : d'un jour à l'autre la rumeur surgit et occupe les esprits. Et plus elle gagne du terrain, plus elle peut donner l'illusion de l'objectivité.
Mais de quoi parle t-on au juste dans le cas présent ? D'une théorie du genre qui n'existe pas. Ce qui existe, en revanche, c'est une distinction entre "sexe biologique" et "genre". Le genre est un concept issu des sciences humaines et sociales pour affirmer l'importance de l'environnement social et culturel dans la construction de l'identité sexuelle de chacun. En effet, au moment de l'enfance nous ne faisons pas qu'apprendre notre appartenance à l'un des deux sexes. Nous intégrons aussi--souvent de manière implicite--les valeurs et les rôles sociaux associés par les adultes à cette appartenance. En gros et pour faire vite : je "joue aux petites voitures et non à la poupée" parce que je suis un garçon. Je "joue à la poupée et non aux petites voitures" parce que je suis une fille. Construites très tôt au cours du développement mental, de telles associations conduisent à la fois à une identité sexuelle (perception d'être soi-même de genre masculin ou féminin) et à des "rôles de genre" qui contrairement au sexe biologique sont socialement et culturellement construits. De ce fait, les rôles de genre et l'identité sexuelle (ou identité de genre) permettent à l'âge adulte la reproduction de certaines inégalités inscrites de longue date entre hommes et femmes, aujourd'hui encore en matière par exemple de salaire, d'accès à certaines professions et à certains statuts. Et c'est bien là tout le problème et aussi tout l'intérêt des travaux consacrés depuis une soixantaine d'années aux "constructions genrées" et aux "rapports de sexe" sous l'impulsion historique des "études de genre" ("gender studies") inspirées notamment de Simone de Beauvoir--et de son célèbre "On ne naît pas femme, on le devient". Il ne s'agit pas de nier les différences biologiques entre hommes et femmes, mais de dévoiler l'origine éminemment sociale et donc le caractère en réalité arbitraire de l'inégalité des sexes dans de multiples domaines.
De nombreuses connaissances ont été accumulées dans ce cadre dont on s'efforce aujourd'hui de faire la synthèse, avec difficulté en raison de la diversité des disciplines impliquées (historiquement la littérature, la philosophie, l'histoire, la psychologie, la sociologie et l'anthropologie, plus récemment les neurosciences sociales, les sciences politiques, la linguistique, l'éthique, l'esthétique, la géographie, l'économie, le droit). Même morcelés, les travaux sur le genre donnent cependant une vraie légitimité à la lutte contre les inégalités de sexe.
DONC LES TRAVAUX ETABLISSENT QUE LA VIOLENCE CONJUGALE EST DETERMINEE PAR LE ROLE SOCIAL : LA FEMME EST VICTIME DE LHOMME
OR AUX USA, CANADA ET ANGLETERRE
CETTE VIOLENCE NA PAS DE GENRE
DAUTRE PART NOUS AVONS REUNI DES ARTICLES QUI MONTRENT :
QUE LES VICTIMES ET MALTRAITANTS ONT ETE EXPOSES A LA VIOLENCE CONJUGALE OU LONT RECUE
ET QUE SAJOUTE POUR LES MALTRAITANTS ET MALTRAITANTS DES FACTEURS :
PSYCHO PATHOLOGIES
ADDICTIONS
CONDITIONS INDIVIDUELLES
CONDITIONS SOCIALES
La realite est que la violence conjugale est une combinaison de facteurs sociaux et biologiques
Et que la violence est partagée par les deux sexes
LE HCE ET LE MINISTERE DE LEGALITE HOMMES FEMMES AFFIRMENT QUE SEULE LA FEMME EST VICTIME
IL SAGIT BIEN DUNE THEORIE DU GENRE CONCERNANT LA VIOLENCE CONJUGALE
AU NOM DE LA QUELLE 700 000 VICTIMES HOMMES ET ENFANTS ONT ETE SACRIFIES
VOIR CES ARTICLES :
STOP HOMMES BATTUS
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