Stop hommes battus

Stop hommes battus

Profils possibles des Femmes Maltraitantes ou violentes

 

 

 

 

 

 

 

Profils possibles des Femmes et Hommes Maltraitants : Nous rajoutons ici les études au fur et à mesure

 

 

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NOUS AVONS 7 BASES DE DONNEES DONT TROIS FIGURENT EN PREMIERE PAGE GOOGLE POUR LES RECHERCHES SUR LES FEMMES MALTRAITANTES
 
NOUS METTONS SUR CES FICHIERS NOS ETUDES ET TOUTES LES AUTRES ETUDES
 
CES FICHIERS SONT EVOLUTIFS
 
CE SYSTEME VA DEVENIR LA PLUS GRANDE BASE DE DONNEES SUR GOOGLE CONCERNANT LES FEMMES MALTRAITANTES
ET BIENTOT LES FEMMES VIOLENTES
EN LANGUE FRANCAISE
 
 
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BASE DE DONNEES EVOLUTIVE SUR
LE DFENSE DES MINORITES, HOMMES MALTRAITES ET BATTUS, ENFANTS VICTIMES EXPOSES A LA VIOLENCE CONJUGALE.
 
SITE INTERNET
 
 
Page Facebook
 
Groupe Facebook
 
Site Linkedin
 
Site Instagram
 
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BASES DE DONNEES EVOLUTIVES :
PROFIL DES FEMMES MALTRAITANTES
 
PROFILS
 
ENQUETE
 
RAPPEL

 

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BASES DE DONNEES EVOLUTIVES :

EGALITE DU NOMBRE HOMMES ET FEMMES BATTUS

LA VIOLENCE N'A PAS DE GENRE

 

https://stop-hommes-battus-france-association.blog4ever.com/egalite-de-femmes-et-hommes-maltraites-dans-4-pays

 

https://stop-hommes-battus-france-association.blog4ever.com/autant-de-femmes-battues-que-d-hommes-battus-dans-4-pays

 

https://stop-hommes-battus-france-association.blog4ever.com/egalite-du-nombre-de-femmes-et-hommes-battus-dans-quatre-pays

 

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BASE DE DONNEES EVOLUTIVE :

LES DEUX SEXISMES, MISOGYNIE ET MISANDRIE

FEMINISME OU HAINE DES HOMMES ?

PATRICK GUILLOT

 

https://stop-hommes-battus-france-association.blog4ever.com/commentaires-livre-les-deux-sexismes-patrick-guillot

 

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citeseerx.ist.psu.edu

Facteurs de risque de violence physique entre partenaires amoureux: implications pour la prévention et le traitement inclusifs de la violence familiale

 
Etude américaine Rose A Medeiros, Murray A Straus
 
Interventions familiales dans la violence domestique: un manuel de théorie et de traitement intégrant le genre, 59-85, 2006
 
Un débat parfois amer a eu lieu pendant plus de 25 ans sur des recherches indiquant que les femmes agressent physiquement leurs partenaires masculins à peu près au même rythme que les hommes attaquent physiquement leurs partenaires féminines. 
 
Pourtant, les preuves de près de 200 études sont accablantes (Archer, 2000; Moffitt et al., 2001; Straus, 1999, 2005b). Ces dernières années, l’objectif du débat a quelque peu changé. Il y a une symetrie des violences envers les deux sexes, et donc une egalite des victimes.
 
Bien qu'ils nient toujours les preuves accablantes de taux à peu près égaux de voies de fait par les hommes et les femmes, ceux qui croient que la domination masculine et la dégradation masculine des femmes sont presque toujours à l'origine de la violence conjugale ont maintenant tendance à se concentrer sur l'affirmation ou l'implication dagresser un partenaire, et d'affirmer que les causes ou les motifs sont différents quand les hommes attaquent leur partenaire, impliquant une soit disante domination masculine due au Patriarcat.
 
Malheureusement, une grande partie de ce qui a été écrit sur les différences de causes et de motivations est basée sur les croyances et les valeurs des auteurs qui font croire que la violence est essentiellement masculine, plutôt que sur des comparaisons empiriques d'hommes et de femmes. Par exemple, (Dobash et al., 1992)
 
* Révision d'une présentation lors de la discussion de «Town Meeting» sur «l'utilisation de la violence par les femmes dans les relations intimes» à la réunion annuelle de l'American Society of Criminology, Chicago, Illinois, 14 novembre 2002. Pour d'autres articles sur ce sujet et des questions connexes, connectez-vous à
 
http: // pages de publication. unh. edu / ~ mas2,
 
C'est un plaisir de remercier les membres du séminaire du Laboratoire de recherche familiale pour leurs précieux commentaires et suggestions. Le travail a été soutenu par la subvention de l'Institut national de la santé mentale T32MH15161 et par l'Université du New Hampshire.

 

 

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Il existe des profils de maltraitantes qui peuvent avoir dans des cas précis

des passages à l'acte violent, des maltraitantes dont c'est le mode de fonctionnement, 
des maltraitantes qui agissent par intérêt.

 

Les profils d'hommes maltraitants sont les mêmes que ceux des femmes maltraitantes, ce qui explique une parité homme/femme dans la violence conjugale, parité constatée à l'étranger dans trois Pays, USA, Canada et Angleterre.

 

Beaucoup de maltraitants on été exposes a la violence enfants. Se surajoutent les facteurs qui suivent.

 

LHYPOTESE DU PATRIARCAT POUR EXPLIQUER LA VIOLENCE DES MALTRAITANTS EN FRANGE EST DU AU FAIT QUE LES HOMMES MALTRAITES ET FEMMES MALTRAITANTES NONT PAS ETE RECONNUS

 

DONC NE PARAIT QUE LES HOMMES VIOLENTS ET LES FEMMES VICTIMES. ALORS LA CAUSE DU PATRIARCAT PARAIT PLAUSIBLE

 

MAIS SI ON RECONNAIT 28 % DHOMMES MALTRAITES, CELA ENTRAINE 28 % DE MALTRAITANTES

 

LE MATRIARCAT NEST PAS UNE EXPLICATION

TOUT COMME LE PATRIARCAT

 

LES HOMMES MALTRAITANTS REPRESENTENT 2 % DE LA POPULATION MASCULINE

SI LE PATRIARCAT RENDAIT VIOLENT, NOUS NAURIONS PAS 2 % DE MALTRAITANTS, MAIS 100 %

 

LA PLUS PART DES ETUDES RECONNAISSENT UNE EXPOSITION A LA VIOLENCE ENFANT

ET AUSSI DES FACTEURS DIVERS : VOIR ETUDES

 

Les femmes et hommes maltraitants ont tous reçus ou ete exposes aux violences enfants.

De plus ils developpent 5 familles de facteurs :

- psycho pathologies

- problèmes psychologiques

- addictions : alcool, drogues ect

- conditions environnementales 

- divers

 

De nombreuses études anglophones estiment UNE VIOLENCE BIDIRECTIONNELLE dans la moitie des cas.

Sur 10 000 cas etudies, nous n'avons pas constaté ces cas : nous pensons que les victimes peuvent développer des VIOLENCES REACTIONNELLES, et NON PAS BIDIRECTIONNELLES. Voire de DE LA LEGITIME VIOLENCE. Il nous a souvent été dit qu'en se défendant et en repoussant les femmes bourreaux celles marquent facilement des bleus et en profitent pour porter plainte.

 

En effet les hommes battus ne sont pas reconnus en France et les chiffres sont caches demuis 15 ans.

Nous avons ete refuses au Grenelle des violences conjugales par Marlene Schiappa et nous avons porté plainte trois fois contre elle, toujours dans succès.

De ce fait, les femmes bourrraux savent que les hommes maltraites sont inconnus en France, et quand les hommes battus portent plainte, elles portent plainte aussi.

 

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THEME : LA VIOLENCE FEMININE :

 

 

 
FAMILLES MALTRAITANTES - CAIRN
 
 

Voici un site internet interessant sur la violence feminine de VIOLENCEFEMININE.COM : 

https://www.violencefeminine.com 

 

Un reportage interessant de GRAZIA.FR sur les femmes maltraitantes : 

https://www.grazia.fr/news-et-societe/news/femmes-violentes-on-en-parle-687628

 

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THEME : LA VIOLENCE N'A PAS DE GENRE

 

 

 

Les hommes maltraites parlent quand on leur donne la parole en Suisse : les grandes études en Amérique du Nord et en Angleterre montrent un même nombre de victimes hommes et femmes...


 

 

 

 

ARTICLE PERTINENT DU MAGAZINE L'EXPRESS

LA VIOLENCE N'A PAS DE GENRE

https://www.lexpress.fr/actualite/societe/famille/la-verite-sur-les-violences-conjugales_485479.html

 

ETUDE DU CAIRN : LA VIOLENCE CONJUGALE N'A PAS DE GENRE :  

https://www.cairn.info/revue-francaise-de-sociologie-2015-2-page-357.htm?try_download=1

 

Cairn.info est né de la volonté de quatre maisons d'édition (BelinDe BoeckLa Découverte et Erès) ayant en charge la publication et la diffusion de revues de sciences humaines et sociales, d’unir leurs efforts pour améliorer leur présence sur internet, et de proposer à d’autres acteurs souhaitant développer une version numérique de leurs publications des outils techniques et commerciaux développés à cet effet.
En février 2006, la Bibliothèque nationale de France s’est associée à ce projet, de façon à faciliter le développement d’une offre éditoriale francophone sous forme numérique.
Cairn.info réunit, en outre, différents investisseurs institutionnels, notamment Gesval, la société ayant en charge la gestion des participations de l’Université de Liège.

En France, le Centre national du livre apporte son soutien à cette initiative.

 

 

EGALITE DES HOMMES ET FEMMES MALTRAITES DANS 3 PAYS : USA, CANADA ET ANGLETERRE

https://stop-hommes-battus-france-association.blog4ever.com/egalite-de-femmes-et-hommes-maltraites-dans-4-pays

 

COMMENT L'ETAT FRANCAIS A REUSSI A FAIRE DISPARAITRE LES HOMMES BATTUS ET LES FEMMES MALTRAITANTES : 

https://stop-hommes-battus-france-association.blog4ever.com/desinformation-en-france 

 

 

ETUDE A LIRE QUI CONFORTE NOS HYPOTHESES

Un rapport établi sur mandat du. Domaine Violence domestique DVD du Bureau fédéral de l'égalité entre femmes et hommes . 3.

CET ARTICLE PDF EST A LIRE, IL EST TRES COMPLET

IL CONCERNE LES MALTRAITANTS

IL EST VALABLE POUR LES MALTRAITANTES

CLIC SUR LIEN

 

 

ETUDE A LIRE QUI CONFIRME NOS HYPOTHESES

https://www.violencequefaire.ch/fr/informations/informations_origines

 

 

Amnisty International Suisse

Article à lire qui parle des maltraitants et maltraitantes

https://www.amnesty.ch/fr/sur-amnesty/publications/magazine-amnesty/2013-2/suisse-quand-le-sexe-fort-est-battu

 

 

Informations du Figaro : CAUSES DE LA VIOLENCE

https://sante.lefigaro.fr/social/droit/violences-conjugales/quelles-sont-causes-violence-conjugale

 

LES CHIFFRES DE L'OMS SONT FAUX :

 

LES HOMMES MALTRAITES ET LES FEMMES MALTRAITANTES SONT DES TABOUS DANS TOUS LES PAYS, CE QUI FAIT QUILS NE SONT RECONNUS QUE DANS LES PAYS MODERNES. SAUF EN FRANCE.

CE QUI FAIT QUE LES CHIFFRES DE L'OMS ET DE LA FRANCE SONT FAUSSES.

 

L'OMS a réussi à lister une série d'événements responsables de la violence conjugale, exercée surtout contre les femmes, quel que soit le pays concerné, en voie de développement, ou développés. "En voici des exemples :

― ne pas obéir à l’homme ; ― lui répondre ; ― ne pas avoir préparé le repas à temps ; ― ne pas bien s’occuper des enfants ou du foyer ; ― interroger l’homme sur des questions d’argent ou au sujet de petites amies ; ― aller quelque part sans l’autorisation de

l’homme ; ― refuser de coucher avec l’homme ; ― l’homme soupçonne la femme d’infidélité."

Il existe, selon l'OMS, des facteurs de risque à la violence conjugale. "la pauvreté familiale pendant l’enfance et l’adolescence, de mauvais résultats scolaires et une délinquance agressive à l’âge de 15 ans" est un facteur de risque, mais ce n'est pas le seul. Les antécédents de violences familiales, la consommation d'alcool chez les hommes, et les troubles de la personnalité sont d'autres facteurs de risque.

 

 

FACTEURS LIES A LA VIOLENCE

 


https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Violence_conjugale

Les recherches sur les profils psychologiques des agresseurs
[114],[115],[116],[117] montrent qu'ils sont associés à une exposition précoce à des modèles comportementaux violents, les agresseurs ayant tendance à reproduire la violence dont ils ont été les victimes ou les témoins entre leurs parents durant l'enfance[118],[119]. Ensuite, le profil des agresseurs est associé à des traits de personnalité pathologiques dans les trois clusters[Lesquels ?]. De façon intéressante, également, ces recherches montrent que le profil des femmes qui agressent diffère très peu du profil des hommes agresseurs. Ces résultats remettent en question le « paradigme des genres »[120],[121] qui suppose une dissymétrie importante entre le profil des agresseurs masculins et le profil des agresseurs féminins.

Au-delà du simple diagnostic, certains traits et caractéristiques psychologiques des partenaires ou de la relation de couple se révèlent être des prédicteurs fiables de violence. Ainsi, des traits tels que la jalousie pathologique[122], l'absence d'empathie[123], la difficulté à régulariser l'expression de son agressivité[124] ou un profil d'attachement insécurisant[125],[126] sont fortement corrélées à une augmentation du risque de violence dans le couple. Il en va de même pour les modèles de communication défectueux entre les partenaires et, de façon plus générale, l'insatisfaction de couple[127].

114 (en) Ehrensaft MK, Cohen P, Brown J, Smailes E, Chen H, Johnson JG., « Intergenerational transmission of partner violence: a 20-year prospective study. », J Consult Clin Psychol. 71(4),‎ 2003, p. 741-53.

↑ (en) Ehrensaft, M.K.; Cohen, P.; Johnson J.G., « Development of personality Disorder Symptoms and the Risk for Parter Violence », Journal of Abnormal Psychology, Vol 115, no. 3,‎ 2006, p. 474-483.

↑ (en) Varley Thornton AJ, Graham-Kevan N, Archer J., « Adaptive and maladaptive personality traits as predictors of violent and nonviolent offending behavior in men and women. », Aggress Behav.36(3),‎ 2010, p. 177-86.

↑ (en) Thornton AJ, Graham-Kevan N, Archer J., « Intimate partner violence: Are the risk factors similar for men and women, and similar to other types of offending? », Aggress Behav. 42(4),‎ 2016, p. 404-12.

↑ (en) Godbout, N., Dutton, D. G., Lussier, Y., & Sabourin, S., « Early exposure to violence, domestic violence, attachment representations, and marital adjustment. », Personal Relationships, 16(3),,‎ 2009, p. 365-384.

↑ (en) Madruga CS, Viana MC, Abdalla RR, Caetano R, Laranjeira R., « Pathways from witnessing parental violence during childhood to involvement in intimate partner violence in adult life: The roles of depression and substance use. », Drug Alcohol Review.36(1),‎ 2017, p. 107-114.

↑ (en) Ehrensaft MK, Moffitt TE, Caspi A., « Clinically abusive relationships in an unselected birth cohort: men's and women's participation and developmental antecedents. », J Abnorm Psychol. 113(2):,‎ 2004, p. 258-70.

↑ (en) Dutton, Donald G., « The Gender Paradigm and Custody Disputes », International Journal for Family Research and Policy 1(1),‎ 2015, p. 8-30.

↑ (en) O’Leary, K. D., Smith Slep, A. M., et O’Leary, S. G., « Multivariate models of men’s and women’s partner aggression. », Journal of Consulting and Clinical Psychology, 75,‎ 2007, p. 752-764.

↑ (en) Péloquin, K., Lafontaine, M-F., et Brassard, A., « Romantic attachment, dyadic empathy, and intimate partner violence: Examination of the direct relationships and underlying mechanism. », Journal of Social and Personal Relationships, 28,‎ 2011, p. 915-942.

↑ (en) Brassard, A., Darveau, V., Péloquin, K., Lussier, Y., et Shaver, P. R, « Childhood sexual abuse and intimate partner violence in a clinical sample of men: The mediating roles of adult attachment and anger management. », Journal of Aggression, Maltreatment, and Trauma. 23(7),‎ 2014, p. 683-704.

↑ (en) Dutton D.G.; White K. R., « Attachment insecurity and intimate partner violence », Aggression and Violent Behavior, 17 (5),‎ 2012, p. 475–481.

↑ (en) Fournier, B., Brassard, A., et Shaver, P. R., « Attachment and intimate partner violence: The demand-withdraw communication pattern and relationship satisfaction as mediators. », Journal of Interpersonal Violence, 26,‎ 2011, p. 1982-2003.

127↑ (en) Lawrence, E. et Bradbury, T.N., « Trajectories of change in physical aggression and marital satisfaction. », Journal of Family Psychology, 2,‎ 2007, p. 236-247.

 

 

Profil jalouse compulsive

La maltraitante est jalouse par manque d'estime de soi.

Si cette jalousie devient importante, la maltraitance peut s'installer


Naissance du premier enfant ou d'un enfant

Certaines femmes dans ce cas essayent d'isoler l'homme du nouveau couple fusionnel formé entre elle et son enfant, et cette situation peut parfais aboutir à des maltraitances psychiques ou physiques.

 

Profil alcoolique ou addiction aux drogues

La maltraitante peut frapper son conjoint pendant une prise de boisson excessive Certaines drogues peuvent produire des accès de violence

 

Femme qui a été maltraitée étant mineure

Il peut y avoir chez certaines personnes, ce n'est pas une généralité, une reconduction de la violence due à une maltraitance antérieure dans l'enfance. 

La maltraitante à été maltraitée enfant ou à été témoin de violences. Plus tard à l'âge adulte cette femme va reconduire la violence de façon transgenerationnelle. 

 

Haine des Hommes (Misandrie) 
Certaines personnes peuvent avoir des ressentiments envers les hommes

dus à des problèmes relationnels antérieurs avec les hommes et/ou le père. 

 

Réaction à la maltraitance 

Une homme peut induire une maltraitance sur sa compagne qui n'est pas obligatoirement violente, mais qui peut engendrer chez sa compagne une escalade à maltraitance physique des deux côtés. 

 

Femme mal intentionnée

Certaines femmes peuvent déclencher la maltraitance dans l'objectif de faire fuir leur compagnon ou pour d'autres objectifs.

 

Profil perverse narcissique

Cette pathologie n'est pas encore reconnue en France.  La maltraitante cherche à mettre sous emprise le maltraité. Le maltraité est souvent soumis à un harcèlement psychologique

 

Profil avec troubles bipolaires

La violence peut surgir chez certains sujets qui font des crises de manie, c'est à dire des phases d'exubérance. Cela ne touche que les sujets non ou mal medecamentes. .

 

Profil paranoiaque

La personne peut être atteinte de gravité variable.EPascal t peut être conduite à la maltraitance dans des phases sévères

 

Psychopathes et sociopathes

La plus part des psychopathes sont bien insérés dans la société. Il peut arriver dans certains cas que ces pathologies puissent amener à la violence. 

 

 

 

 

ETUDE ROSE MEDEIROS MURRAY

 

CONTACT CHERCHEUR USA : TRAVAUX EN PDF ANGLAIS

 

https://www.researchgate.net/publication/228713821_A_review_of_research_on_gender_differences_in_risk_factors_for_physical_violence_between_partners_in_marital_and_dating_relationships_Durham_NH_Family

 

 

VIOLENCE CONJUGALE

DONT REFERENCE ETUDE ROSE MEDEIROS MURRAY

WIKIPEDIA ANGLAIS

 

https://en.m.wikipedia.org/wiki/Domestic_violence_against_men

 

UNE CENTAINE DETUDES ANGLOPHONES

SOURCE WIKIPEDIA ANGLOPHONE

VIOLENCE CONJUGALE

 

https://stop-hommes-battus-france-association.blog4ever.com/100-etudes-anglophones-violence-conjugale

 

LETUDE A DISPARU DINTERNET AU LIEN SUIVANT ;

NOUS FAISONS UNE ENQUETE 

EN TAPANT SUR GOOGLE :

 

Risk Factors for Physical Violence Between Dating Partners: Implications for Gender-Inclusive Prevention and Treatment of Family Violence

 

NOUS AVONS TROUVE LETUDE A CETTE ADRESSE

EN PDF

 

https://scholar.google.fr/scholar?q=Risk+Factors+for+Physical+Violence+Between+Dating+Partners:+Implications+for+Gender-Inclusive+Prevention+and+Treatment+of+Family+Violence&hl=fr&as_sdt=0&as_vis=1&oi=scholart

 

TEXTE EN FRANCAIS :

DEBUT DE PAGE DE LETUDE PDF

 

 

À paraître dans Hamel, J., & Nicholls, T. (Eds.). (2006) ID28 / PR28 Approches familiales en matière de violence domestique: guide du praticien sur la recherche et le traitement intégrant le genre: 
 
Springer RISK FACTORS FOR PHYSICAL VIOLENCE ENTRE DATING PARTNERS: IMPLICATIONS POUR LA PRÉVENTION ET LE TRAITEMENT INCLUSIFS DE GENRE * DE LA VIOLENCE FAMILIALE 
 
Rose A. Medeiros et Murray A. Straus Family Research Laboratory, University of New Hampshire Durham, 
 
NH 03824 603-862-2594 murray.straus@unh.edu 
 
Un débat parfois amer a eu lieu pendant plus de 25 ans sur des recherches indiquant que les femmes agressent physiquement leurs partenaires masculins à environ le même taux que les hommes attaquent physiquement leurs partenaires féminines.
 
Pourtant, les preuves de près de 200 études sont accablantes (Archer, 2000; Moffitt et al., 2001; Straus, 1999, 2005b). 
 
Ces dernières années, l’objectif du débat a quelque peu changé. Bien qu'ils nient toujours les preuves accablantes de taux à peu près égaux de voies de fait par les hommes et les femmes, ceux qui croient que la domination masculine et la dégradation des femmes par les hommes sont presque toujours à l'origine de la violence entre agresser un partenaire, les causes ou les motifs sont différents de ceux que les hommes attaquent leur partenaire. 
 
Malheureusement, une grande partie de ce qui a été écrit sur les différences de causes et de motivations est basée sur les croyances et les valeurs des auteurs plutôt que sur des comparaisons empiriques d'hommes et de femmes. Par exemple, (Dobash et al., 1992) * 
 
Révision d'une présentation lors de la discussion «Town Meeting» sur «l'utilisation de la violence par les femmes dans les relations intimes» à la réunion annuelle de l'American Society of Criminology, Chicago, Illinois, 14 novembre 2002. Pour d'autres articles sur ce sujet et des questions connexes, connectez-vous à 
 
http : //pubpages.unh.edu/~mas2
 
C'est avec plaisir que je remercie les membres du séminaire du Laboratoire de recherche familiale pour leurs précieux commentaires et suggestions. Le travail a été soutenu par la subvention T32MH15161 de l'Institut national de la santé mentale et par l'Université du New Hampshire. ID28W.doc, Page 1
 

 

Risk factors for physical violence between dating partners: Implications for gender-inclusive prevention and treatment of family violence

RA Medeiros, MA Straus - Family interventions in domestic violence: A …, 2006 - Citeseer
A sometimes bitter debate has waged for more than 25 years over research indicating that women physically assault their male partners at about the same rate as men physically attack female partners. Yet the evidence from almost 200 studies is overwhelming (Archer, 2000; Moffitt et al., 2001; Straus, 1999, 2005b). In recent years, the focus of the debate has shifted somewhat. Although still denying the overwhelming evidence of approximately equal rates of assault by men and women, those who believe that male dominance and male …
 
 
Facteurs de risque de violence physique entre partenaires amoureux: implications pour la prévention et le traitement inclusifs de la violence familiale
RA Medeiros, MA Straus - Interventions familiales dans la violence domestique: A…, 2006 - Citeseer
Un débat parfois amer a eu lieu pendant plus de 25 ans sur des recherches indiquant que les femmes agressent physiquement leurs partenaires masculins à peu près au même rythme que les hommes attaquent physiquement leurs partenaires féminines. Pourtant, les preuves de près de 200 études sont accablantes (Archer, 2000; Moffitt et al., 2001; Straus, 1999, 2005b). Ces dernières années, l’objectif du débat a quelque peu changé. Bien qu'ils nient toujours les preuves accablantes de taux à peu près égaux de voies de fait par des hommes et des femmes, ceux qui croient que la domination masculine et masculine…
 

 

 

Medeiros, Rose A.; Straus, Murray A. (2006). "Risk Factors for Physical Violence Between Dating Partners: Implications for Gender-Inclusive Prevention and Treatment of Family Violence" (PDF). In Hamel, John; Nicholls, Tonia (eds.). Family Approaches to Domestic Violence: A Practitioner's Guide to Gender-Inclusive Research and Treatment. New York: Springer. pp. 59–87. Retrieved June 24, 2014.

 

 

En 2006, Rose A. Medeiros et Murray A. Straus ont mené une étude auprès d'un échantillon de 854 étudiants (312 hommes et 542 femmes) de deux universités américaines. Ils ont identifié 14 facteurs de risque spécifiques communs aux hommes et aux femmes ayant commis le VPI; une mauvaise gestion de la colère, les troubles de la personnalité antisociale , troubles de la personnalité borderline , modèle des relations dominantes, la toxicomanie , les antécédents criminels, les troubles de stress post - traumatique , la dépression, les problèmes de communication, la jalousie , l' abus sexuel comme un enfant, le stress et l'approbation d' attitude générale de la violence conjugale .

 

Parmi les autres explications à la violence conjugale masculine et féminine figurent la psychopathologie , la colère, la vengeance, le manque de compétences, les blessures à la tête, les déséquilibres biochimiques, le sentiment d'impuissance, le manque de ressources et la frustration

 

 

 

LIVRE ANGLAIS KINDLE AMAZON

ETUDE ET CRITIQUES DE LA FESSEE AUX ENFANTS

 

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ETUDE SUR LES FAMILLES AMERICAINES :

 

https://www.amazon.fr/dp/0803932928/ref=cm_sw_r_cp_apa_fabc_4Tq8FbXZ0KNZF

 

 

 

La description
Présentation de l'éditeur
Basé sur une étude de sept ans portant sur plus de 2000 familles, Behind Closed Doors est une enquête nationale sans précédent sur l'étendue, les modèles et les causes de la violence dans les familles américaines. Les auteurs, tous des spécialistes de premier plan dans le domaine, se concentrent sur la violence dans la famille dans son ensemble, y compris la violence envers les enfants et les conjoints, la violence envers les frères et sœurs et les aînés, ainsi que la violence verbale. Les discussions sur leurs relations fournissent des aperçus marquants de ce phénomène et indiquent à quel point la violence physique est étroitement liée au tissu de la vie familiale.

Complet, mais clair et lisible, Derrière les portes fermées intéresse à la fois le professionnel et l'étudiant dans le domaine des études familiales.

Biographie de l'auteur
Richard J. Gelles a obtenu son doctorat. en sociologie de l'Université du New Hampshire. Il est le doyen de la School of Social Work de l'Université de Pennsylvanie et est titulaire de la Chaire Joanne et Raymond Welsh de protection de l'enfance et de violence familiale à la School of Social Work de l'Université de Pennsylvanie. Il est directeur du Centre d’étude de la politique de la jeunesse et codirecteur du Centre pour la politique, la pratique et la recherche concernant l’enfance. Son livre, The Violent Home, a été la première enquête empirique systématique sur la violence familiale et continue d'être très influent. Il est l'auteur ou le coauteur de 23 livres et de plus de 100 articles et chapitres sur la violence familiale. Ses derniers livres sont, The Book of David: How Preserving Families Can Cost Children Lives (Basic Books, 1996) et Intimate Violence in Families, Third Edition (Sage Publications, 1997).

Informations sur le produit
Éditeur SAGE Publications Inc (28 juin 1988)
Langue: Anglais
Broché 312 pages
ISBN-10 0803932928
ISBN-13 978-0803932920
Poids de l'article 310 g
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CONSEILS STOP HOMMES BATTUS

 

Vous pouvez en consultant un psychiatre thérapeute, un psychologue ou notre association, tenter d'avoir une réponse en décrivant votre vie conjugale, et ce sera sans doute une aide précieuse pour savoir s'il faut tenter : 


- une thérapie familiale pour tenter de ressouder le couple et la famille,

 

- une thérapie de la maltraitante si elle accepte, pour tenter de ressouder le couple et la famille,

 

- ou si vous préférez vous échapper avec ou sans thérapeute et dans certains cas c'est nécessaireC'est VOTRE CHOIX.

 

CERTAINES PATHOLOGIES SONT DIFFICILES A TRAITER, NOTTAMMENT LES PERVERSIONS

 

Cette aide thérapeutique est aussi une aide précieuse pour soigner vos traumatismes efaire le deuil de votre maltraitante si vous partez.

Et dans ce cas portez plainte, et essayez d'avoir la garde de vos enfants.


Le fait de vouloir donner une chance à votre couple avec une thérapie si vous le décidez ne doit pas vous empêcher de PORTER PLAINTE c'est TRES conseillé. C'est votre choix.


Le psychologues et psychiatres sont payants, sauf les psychiatres en secteur 1.

Les psychiatres et psychologues qui sont en CMP (centre médico psychologique) sont gratuits.

 

Nous sommes là pour vous écouter et vous accompagner dans ces démarches si vous le désirez. Ou si vous êtes en procédure judiciaire.

 
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21/11/2020
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